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dimanche 10 avril 2005 Que sont devenues nos fillettes ?
Le site Petit Monde présente un dossier intitulé « Des fillettes qui n’en sont plus », sur l’influence des médias et des modes sur les pré-adolescentes ou fillettes. On y aborde la sexualisation précoce des fillettes. « La mode actuelle annoncerait une sexualisation précoce et le retour en force des stéréotypes sexuels, peut-on lire en introduction. Comment expliquer cette tendance ? Doit-on s’en inquiéter ? Prépare-t-on des objets sexuels pour demain ? Comment intervenir ? » Voici les articles : « Que sont devenues nos fillettes ? Sexe, amour @ rock’n’roll », par Nathalie Côté Comment expliquer le fait que nous assistions à une mort lente de l’enfance sans réagir ? Pourquoi cette sexualisation précoce ? Quelles seront les conséquences à moyen ou à long terme ? Comment se fait-il que nous, parents, éducateurs, adultes responsables, ne soyons pas plus alarmés ? Comment intervenir ? Lire l’article. « Moi, je m’appelle Lolita… », par Alexandra Géraci De nos jours, les petites filles ne veulent plus jouer à la poupée, elles veulent ressembler à leurs idoles : Lorie, Alizée, Priscilla, Britney Spears… Ces enfants-femmes sont visibles partout : à la télévision, dans les magazines, dans les films, dans les publicités. Le marché s’est emparé de ce juteux créneau, des chaînes de magasins mettent en vente des strings tailles xxs, des maquillages pour enfants ainsi que des vêtements qui ressemblent étrangement à ceux de Britney Spears ou autres Lolitas ! Lire l’article. « Trop jeunes pour être sexy ! », par Geneviève Doray À peine sorties de leur pyjama nouveau-né, les fillettes sont déjà tendance. Une étude européenne révèle que plus de 90% des filles de 4 à 8 ans se sont déjà maquillées ou parfumées. Bye bye petite fille, bonjour femme fatale ! – « L’enfance volée », par Jean Hamann Elles ont entre 8 et 11 ans. Elles portent déjà un gilet bedaine - et souvent un bijou dans leur nombril percé -, un jeans taille basse - et son inséparable allié, le string -, du maquillage abondant et des souliers à talon qui leur donne un déhanchement provocant. Elles ont encore l’âge de « jouer à la madame », mais elles y jouent pour vrai. Cette génération « d’ados-naissantes » préoccupe les chercheures en études féministes. Lire l’article. – « Vaut mieux prévenir que guérir », par Isabelle Pauzé – « Le fantasme de la jeune écolière », par Isabelle Pauzé Site du Petit Monde. Mis en ligne sur Sisyphe, le 5 avril 2005. Commenter ce texte © Sisyphe 2002-2014 | ||||
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