La prétendue misère sexuelle (vous ne précisez pas mais je suppose que c’est de celle des hommes dont vous parlez) n’est, selon moi, que la conséquence, d’une part, d’une conception sexiste de la sexualité selon laquelle la femme qui couche de trop et l’homme qui ne couche pas assez ne sont pas respectables, et d’autre part, de l’hétéronormativité cantonnant nos sexualités au cadre ô combien patriarcal du rapport binaire mâle-dominant-pénétrant / femelle-dominée-pénétrée.
La prétendue misère sexuelle (vous ne précisez pas mais je suppose que c’est de celle des hommes dont vous parlez) n’est, selon moi, que la conséquence, d’une part, d’une conception sexiste de la sexualité selon laquelle la femme qui couche de trop et l’homme qui ne couche pas assez ne sont pas respectables, et d’autre part, de l’hétéronormativité cantonnant nos sexualités au cadre ô combien patriarcal du rapport binaire mâle-dominant-pénétrant / femelle-dominée-pénétrée.