Freud, Zeus... Dieu ! L’analogie est frappante. Et pourtant, oui ! C’est bien le rocher l’important. Cela ne m’était jamais apparu jusqu’à présent. Trop évident sans doute ? A chacun le sien, boulet qui nous entrave, nous cisaille les ailes, nous sépare de nous-mêmes, nous prive de la première et dernière liberté, celle de se tenir debout, sans dieux ni maîtres (penseurs). C’est le mythe humain dans toute sa pathétique dimension. Destin sans cesse perfectible, inlassablement remis à l’ouvrage, encore et encore. Bouleversante vanité des croyances de l’Homme à propos de lui-même. Que dire de son incroyable faculté de résistance mais aussi de transcendance ? Boule (t) cristalline, éthérée, évanescente... évanouïe. Un destin accompli.
Freud, Zeus... Dieu ! L’analogie est frappante. Et pourtant, oui ! C’est bien le rocher l’important. Cela ne m’était jamais apparu jusqu’à présent. Trop évident sans doute ? A chacun le sien, boulet qui nous entrave, nous cisaille les ailes, nous sépare de nous-mêmes, nous prive de la première et dernière liberté, celle de se tenir debout, sans dieux ni maîtres (penseurs). C’est le mythe humain dans toute sa pathétique dimension. Destin sans cesse perfectible, inlassablement remis à l’ouvrage, encore et encore. Bouleversante vanité des croyances de l’Homme à propos de lui-même. Que dire de son incroyable faculté de résistance mais aussi de transcendance ? Boule (t) cristalline, éthérée, évanescente... évanouïe. Un destin accompli.