> La triple peine de Samira Bellil, par Elise Thiébaut
17 novembre 2005, 09:59, par Warda
Chère Samira,
je suis que tu es partie, mais c’est tout de même à toi que je veux parler. Au moment où je t’écris ce message, une boule se noue dans mon ventre. Je sais pourquoi : ton livre m’a marquée jusque daans mes tripes, au plus profond de moi-même. J’aurais aimé qu’on te sauve, qu’on te protège, qu’on les empêche...
La société et tous ceux qui la composent (y compris moi) sont responsables.
Saches que grâce à ton livre, tout le monde sait, et personne ne t’oubliera.
Qu’est-ce que j’aurais aimé que tu sois encore parmi nous.
La paix est un état agréable, et tu la mérites.
Qu’Allah ait ton âme, ma soeur.
Merci à toi.
Chère Samira,
je suis que tu es partie, mais c’est tout de même à toi que je veux parler. Au moment où je t’écris ce message, une boule se noue dans mon ventre. Je sais pourquoi : ton livre m’a marquée jusque daans mes tripes, au plus profond de moi-même. J’aurais aimé qu’on te sauve, qu’on te protège, qu’on les empêche...
La société et tous ceux qui la composent (y compris moi) sont responsables.
Saches que grâce à ton livre, tout le monde sait, et personne ne t’oubliera.
Qu’est-ce que j’aurais aimé que tu sois encore parmi nous.
La paix est un état agréable, et tu la mérites.
Qu’Allah ait ton âme, ma soeur.
Merci à toi.