On dit que le passé est garant de l’avenir. Si cela s’applique au cardinal Ratzinger, cela n’augure de rien de bon.
Je pense qu’à la mort, la question à se poser (ce n’est pas un autre de soi qui nous la posera) est la suivante : « Qu’as-tu fait de ta vie ? »
Personnellement, je préférerais pouvoir me répondre que j’ai essayé d’aider des gens à être libres, à prendre leurs propres décisions, à contrôler leur propre existence, à exercer leurs droits, à assumer leurs responsabilités, plutôt d’être obligé de répondre que j’ai passé ma vie à manipuler les esprits et les consciences pour asseoir le pouvoir d’une institution sur le monde.
On dit que le passé est garant de l’avenir. Si cela s’applique au cardinal Ratzinger, cela n’augure de rien de bon.
Je pense qu’à la mort, la question à se poser (ce n’est pas un autre de soi qui nous la posera) est la suivante : « Qu’as-tu fait de ta vie ? »
Personnellement, je préférerais pouvoir me répondre que j’ai essayé d’aider des gens à être libres, à prendre leurs propres décisions, à contrôler leur propre existence, à exercer leurs droits, à assumer leurs responsabilités, plutôt d’être obligé de répondre que j’ai passé ma vie à manipuler les esprits et les consciences pour asseoir le pouvoir d’une institution sur le monde.