> Viol et séquestration d’une adolescente. Les propos de Me Lynda Bureau sont inacceptables
16 septembre 2005, 22:51, par femme de france
mea culpa
aprés une réaction " épidermique " trés émotives , je me rends compte que gilles proulx n’est pas LE coupable mais celui qui révèle.
le Bouffon au sens symbolique du terme.
"malheur à celui par qui le scandale arrive"
cet homme à le mérite d’avoir appuyé à l’endroit ou était la blessure, et par la indiquer OU était la blessure.
Quand vous l’aurai crucifié , cet imbécile qui n’a que résonné au propos d’une idéologie machiste relayé (quel horreur )par une femme, vous n’aurez pas résolu le problème.
La VRAI question est : " comment dans une société de droit , une avocate peut elle en appeller à la faiblesse de la victime (faiblesse de discernent par l’age, par la faiblesse du physique ...) ? pour excuser l’agresseur ?.
c’est comme dire , "il faut bien qu’il soit prédateur puisque tu es désigné comme proie ".
non gilles proulx n’est pas responsable de l’ambiance déplorable qui permet de dire "tu à cherché à etre violeé par le fait que tu es une femme" et que tu le montre.
Il a bien fait son travail qui est de mettre " les pieds dans le plat".
Il a déclenché le débat, "jeté le pavé dans la mare".
Sachons nous servir de lui et de ses outrances pour dénoncer les crimes contre l’enfance.
mea culpa
aprés une réaction " épidermique " trés émotives , je me rends compte que gilles proulx n’est pas LE coupable mais celui qui révèle.
le Bouffon au sens symbolique du terme.
"malheur à celui par qui le scandale arrive"
cet homme à le mérite d’avoir appuyé à l’endroit ou était la blessure, et par la indiquer OU était la blessure.
Quand vous l’aurai crucifié , cet imbécile qui n’a que résonné au propos d’une idéologie machiste relayé (quel horreur )par une femme, vous n’aurez pas résolu le problème.
La VRAI question est : " comment dans une société de droit , une avocate peut elle en appeller à la faiblesse de la victime (faiblesse de discernent par l’age, par la faiblesse du physique ...) ? pour excuser l’agresseur ?.
c’est comme dire , "il faut bien qu’il soit prédateur puisque tu es désigné comme proie ".
non gilles proulx n’est pas responsable de l’ambiance déplorable qui permet de dire "tu à cherché à etre violeé par le fait que tu es une femme" et que tu le montre.
Il a bien fait son travail qui est de mettre " les pieds dans le plat".
Il a déclenché le débat, "jeté le pavé dans la mare".
Sachons nous servir de lui et de ses outrances pour dénoncer les crimes contre l’enfance.