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À nul autre pareil
6 juin 2003
par
Seule dans la nuit je t’appelle et t’imagine
J’ai le désir de ton désir à nul autre pareil
Aucun mot ne peut me distraire
Quand mord l’exquise morsureJe flambe mes terres sans regret
Tes belles mains s’arrogent tous les pouvoirs
Croient au ciel comme aux rivières
Une grâce ardente vole sur mes nerfsDes milliers d’ailes s’ébrouent en moi
Vont viennent inventent l’éternité
Quand le plomb du corps disparaît
Ton rire soudain trace une nébuleuseTu ouvres les bras et me laisses partir
Libre tu le sais l’hirondelle fait le printempsMis en ligne sur Sisyphe le 5 juin 2003.