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Éducation
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mardi 30 mai 2017 Faut-il jouer à la guerre pour être un garçon ? par Jacques Brodeur, consultant en éducation et en prévention de la violence Récemment, le ministre de l’Éducation du Québec commentait favorablement une nouvelle en provenance de la MRC des Sources où l’on recommande la mise en place de mesures tolérant les jeux de guerre en garderie. Cela répondrait, semble-t-il, aux besoins des enfants de sexe masculin.
vendredi 7 avril 2017 On aurait pu s’attendre à ce que quelqu’un, en haut lieu, fasse le lien entre la technologie numérique et la détérioration du vivre-ensemble dans nos écoles, collèges et lycées. Comment le fil a-t-il pu échapper à notre vigilance ?
vendredi 4 novembre 2016 Le 29 octobre dernier, Madame Denise Bombardier s’inquiétait du recul scolaire de nos adolescents.
mercredi 19 octobre 2016
mercredi 30 septembre 2015 Aujourd’hui, nous, psychologues, orthophonistes, psychiatres, pédiatres, enseignants, bibliothécaires, infirmières scolaires, chercheurs et parents, faisons le même constat que celui qui a été fait pour la télévision : la tablette cause de sérieux troubles chez l’enfant lorsqu’elle devient le principal outil de stimulation.
mardi 18 août 2015 J’ai lu sur Sisyphe.org un court texte intitulé Histoire de l’enfant qui devait reconstruire le monde racontée par l’écrivain argentin Adolfo Perez Esquivel (prix Nobel de la Paix 1980).
dimanche 17 mai 2015 "Qui a une télévision ou un écran dans sa chambre ?" Dans cette classe de CM1 de l’Ain, de nombreux enfants lèvent la main : 15 sur 25. L’intervenant Québécois Jacques Brodeur n’est pas surpris.
mercredi 11 mars 2015 Ce 8 mars est une occasion d’exprimer notre reconnaissance aux enseignantes qui interviennent auprès des adolescent-e-s avec professionnalisme, empathie et patience.
lundi 16 février 2015 Deux ans avant la tuerie de Polytechnique en 1989, une association sans but lucratif avait vu le jour avec pour mission d’accompagner les établissements éducatifs où l’on voulait neutraliser la culture de la violence.
jeudi 12 février 2015 L’engouement des enfants et des adolescent-es pour les écrans donne lieu à des questionnements chez plusieurs parents. Le temps que les adultes consacrent aux écrans augmente lui aussi. Cet engouement n’a-t-il que des bienfaits ?
jeudi 11 décembre 2014
mardi 4 novembre 2014
Lorsqu’on prépare des jeunes au projet éducatif connu sous le nom de Défi sans écrans, deux équipes vont s’affronter : des amateurs contre des professionnels.
mardi 14 octobre 2014 Les écrans, comme l’argent, sont de mauvais maîtres.
mardi 18 février 2014 Il faut quand même souligner qu’il était difficile de penser en 2014 qu’un projet bienvenu comme les ABCD de l’égalité, et somme toute assez banal quant au fond, allait susciter une telle litanie d’énormités.
samedi 2 juin 2012 Depuis le début de la crise étudiante, des voix continuent de s’élever pour critiquer les professeur-es qui sont contre la hausse des frais de scolarité.
dimanche 30 août 2009
lundi 7 mai 2007
mardi 24 avril 2007
vendredi 16 mars 2007
jeudi 9 novembre 2006
jeudi 14 septembre 2006
lundi 21 août 2006
mardi 23 août 2005
dimanche 27 mars 2005 Mercredi, la population étudiante du Québec soulignera un bien triste anniversaire. Cette date fatidique qu’est le 30 mars 2004 marque la mise en application d’un message clair : les études postsecondaires ne peuvent pas être accessibles à toutes les couches de la société. Cependant, ce message est-il celui d’un des multiples consensus sociaux établis ou bien celui d’un gouvernement nettement en marge de ce qu’est l’État québécois depuis une quarantaine d’années ? Nous croyons que se poser la question, c’est y répondre. À première vue, nous semblons nous époumoner et nous mobiliser massivement pour ce qui semble être extrêmement simple, pragmatique et disproportionné par rapport aux avancées sociales de la Révolution tranquille. Pourtant, derrière la somme de 103 millions de dollars, scandée maintes fois au cours de la dernière année, se dissimulent les préoccupations d’une génération entière. L’objet de toute cette cause déborde largement le cadre de la simple demande chiffrée. L’image concrète des 103 millions est portée par une volonté de se tailler une place équitable face aux autres générations.
dimanche 20 mars 2005
dimanche 13 mars 2005
mardi 19 octobre 2004
jeudi 14 octobre 2004
jeudi 14 octobre 2004
vendredi 10 septembre 2004
mercredi 30 juin 2004
novembre 2003 Des expériences comme le « gars show » organisé récemment par une école secondaire de Magog ravivent le débat sur le décrochage scolaire des garçons et la non-mixité des classes ou des écoles comme éventuel remède à ce problème. Chaque fois qu’il ressurgit, ce débat donne lieu à la même levée de boucliers contre le féminisme et les féministes. Nous assistons alors à un amalgame d’affirmations qui se présentent comme des causes au décrochage scolaire des garçons : il y a trop de profs féminins, l’école véhicule des valeurs féminines, le féminisme a détruit l’estime de soi des garçons et des hommes, etc. Plutôt que de stimuler une recherche de solutions judicieuses pour contrer le problème réel du décrochage, ce discours nous éloigne du coeur de la question. Petit tour d’horizon pour tenter de mieux comprendre les éléments en jeu.
lundi 22 septembre 2003 Quel message veut donner aux garçons et aux filles le ministre de l’Éducation du Québec en annonçant son appui et sa participation à l’événement "Le gars show" de l’école la Ruche, à Magog au Québec ?
vendredi 30 mai 2003
vendredi 30 mai 2003
vendredi 7 février 2003 Le chercheur Jean-Claude St-Amant rend compte de recherches qui indiquent que non seulement la non-mixité n’est pas une solution au décrochage scolaire des garçons, mais qu’elle pourrait leur nuire.
vendredi 7 février 2003 L’historienne Micheline Dumont rappelle le contexte du débat en cours sur le décrochage scolaire au Québec, soulignant que ce phénomème est une vieille réalité. Pendant longtemps, les femmes ont été absentes des niveaux collégial et universitaire d’enseignement, et qui s’en inquiétait ? Pourquoi les filles se sont-elles adaptées sans problème à une école, à des programmes scolaires qui ont été conçus pour les garçons, dans un cadre de savoir masculin pour ne pas dire androcentrique ?
2003
mardi 1er octobre 2002
octobre 2002 Notre société est donc trop féministe, à ce qu’il paraît, et ce serait là la principale raison qui expliquerait le décrochage scolaire des garçons. Elle est bien bonne, celle-là, écrit Louise Mailloux, professeure de philosophie au cégep du Vieux Montréal, qui nous invite à quitter le XVIIIe siècle.
2002 Quand les garçons échouent... on en fait tout un plat. Le "kid" qui préfère son skateboard ou son X-Box à ses devoirs serait bien étonné de constater à quel point l’État est prêt à multiplier les réformes et à "tasser les filles" pour accommoder sa paresse et son goût du plaisir à court terme.
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