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mardi 29 août 2017 Le parlamour
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Que pourrais-je te dire de plus Un oiseau répète têtu ses deux notes Si l’oiseau égrène neuf notes Avec toi je remonte l’oubli Certains êtres marquent nos vies T’ai-je dit ne pouvoir te trouver La pluie dilue les couleurs Peu importe de près de loin Cesse de pleurer les pertes Le rêve ne renonce jamais au jour La pluie n’en finit plus de tomber Lumière perdue loin dans les yeux Comme des racines sans âge Mis en ligne sur Sisyphe, le 8 août 2017 |
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