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l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne

 

Vote des femmes francophones au Canada
"Les conservateurs nous ont rappelé que nous sommes ‘juste’ des femmes"
, par l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne

À quelques jours du scrutin fédéral, l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC) demande aux femmes francophones de voter pour un candidat ou une candidate qui a à cœur leurs intérêts et ceux de leur famille : « Le gouvernement minoritaire conservateur n’a pas bien compris les défis des femmes francophones en contexte majoritaire anglophone », affirme la présidente de l’organisme national, Paulette Sonier Rioux. « Beaucoup d’organismes travaillent concrètement pour la santé et la sécurité des femmes et de leurs enfants, l’accès à la vie économique, l’éducation, la culture, le droit de la famille et l’équité salariale. Ces organismes, la plupart fonctionnant grâce au bénévolat des femmes, ont vu leur capacité de mettre en branle des projets considérablement réduite par les coupures effectuées par le dernier gouvernement minoritaire », explique la présidente. En effet, le gouvernement de Stephen Harper a coupé, entre autres, 5 millions de dollars sur deux ans à Condition féminine Canada (sur un budget d’environ 25 millions de dollars) et fermé la grande majorité de ses bureaux régionaux à travers le pays. Les coupures administratives à Condition féminine Canada ont compromis également le volet recherche : « Cette coupure rend le gouvernement incapable de répondre aux besoins émergeants des femmes francophones en matière d’égalité réelle », estime Madame Sonier Rioux. « Un gouvernement ne peut rien faire à l’aveuglette. Il lui faut des données non seulement quantitatives mais également qualitatives sur les besoins des différentes populations. » Madame Paulette Sonier Rioux précise que c’est grâce à des organismes qui font des recherches pointues que des solutions sont apportées et que des lois qui favorisent la famille sont adoptées.

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