OTTAWA - Le Congrès musulman canadien (CMC) a accueilli très favorablement la décision prise par le ministre Peter Mackay d’interdire à un imam du Canadian Islamic Congress (CIC) de prendre la parole lors d’un événement interne au siège du ministère de la Défense nationale lundi.

Au cours des dernières années, nous avons été témoins de la dérive qu’à pris le soi-disant Mois du patrimoine islamique, transformé en une machine de propagande pour les islamistes au Canada qui veulent y introduire la charia et qui souhaitent se cacher derrière la couverture de l’enseignement de l’histoire pour mieux infiltrer les plus hauts niveaux du gouvernement à Ottawa », a déclaré Salma Siddiqui, vice-présidente du MCC

« Les musulmans ont beaucoup de choses dont ils peuvent être fiers dans leur patrimoine, mais ce que le CIC a fait, c’est de propager la doctrine de l’islamisme à travers la vision d’un passé enrobé d’une couche de sucre qui couvre avec brillance les faits qui ont conduit aujourd’hui au bourbier universel et à la décomposition dans les sociétés islamiques à travers le monde », a ajouté Siddiqui.« L’histoire islamique devrait être enseignée par des universitaires et des historiens, et non des religieux et des propagandistes, » a-t-elle ajouté.

Se félicitant de la décision du ministre de la Défense Peter Mackay, la vice-présidente du MCC dit : « Nous devons maintenant veiller à ce que tous les événements futurs qui entourent le soi-disant Mois du patrimoine islamique soient retirés de l’emprise du Congrès islamique canadien et autres organisations islamistes. " Elle a dit qu’elle était préoccupée par le fait que les islamistes avaient réussi à pénétrer dans les plus hauts niveaux de la bureaucratie d’Ottawa et de l’appareil politique de tous les partis politiques.

– Pour plus d’information : Salma Siddiqui, (613) 864-4306

* Traduction de Point de bascule

* Version anglaise.

Mis en ligne sur Sisyphe, le 4 octobre 2010

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