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dimanche 6 novembre 2005 Entre Pauline et Boisclair
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« L’élection d’un nouveau chef ne concerne pas seulement les membres du Parti québécois. Le Québec est à la recherche de quelqu’un capable d’affronter le premier ministre Jean Charest et d’offrir à la population un choix réel lors des prochaines élections (...)
Il est vrai que Pauline Marois n’a pas l’étoffe d’un tribun. Mais sa simplicité, sa franchise, la connaissance des dossiers dont elle a su faire preuve, la détermination affichée au sujet de la réalisation de la souveraineté, sont des qualités que les membres devraient prendre en considération. Le prochain chef du PQ aura la tâche ardue de réconcilier les tenants des différents courants au sein comme à l’extérieur du parti. Certains se rallient à lui parce qu’il est écouté par des électeurs adéquistes qui boudent le Parti québécois. Mais il a toute la gauche contre lui. En face, Mme Marois est capable de rallier les appuis d’un Joseph Facal. Son MBA obtenu aux HEC et son expérience au Trésor et aux Finances valent bien le court séjour de M. Boisclair à Boston. Et puis elle récolte à gauche les appuis qui font défaut à son rival (...) Lire l’article intégral dans Le Devoir, 7 novembre 2005. |