Sandrine Ricci, chargée de cours et doctorante en sociologie ( Sandrine Ricci est étudiante au troisième cycle en sociologie à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Inscrit dans le champ de la sociologie des rapports sociaux de sexe, son projet de recherche doctorale a pour ambition de contribuer à l’actualisation des analyses féministes des manifestations contemporaines de la violence envers les femmes. Sandrine Ricci est également chargée de cours à l’UQAM et coordonnatrice du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). De 2005 à 2010, elle a œuvré comme professionnelle de recherche au sein de l’Alliance de recherche entre l’Institut de recherche et d’études féministes et Relais-femmes (ARIR), membre de l’équipe travaillant sur les discours et les pratiques du mouvement des femmes québécois, ainsi que de l’équipe portant sur la traite des femmes à des fins d’exploitation sexuelle. Cette dernière a poursuivi ses travaux de façon indépendante et a publié son rapport de recherche en décembre 2012, intitulé « La traite des femmes à des fins d’exploitation sexuelle : entre déni et invisibilité » (les Cahiers de l’IREF). Elle compte plusieurs publications à son actif : . Ricci, Sandrine ; L. Kurtzman et M.-A. Roy. 2012. « La traite des femmes à des fins d’exploitation sexuelle : entre déni et invisibilité ». Les Cahiers de l’IREF, coll. « Agora », no 4. Montréal : UQAM, 218 p. | ||
La légalisation de la prostitution, une violence sociétale
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Depuis la fin des années 1990, on constate un relâchement de l’interprétation des lois par les tribunaux canadiens qui ont d’abord permis la nudité quasi complète des danseuses dites « exotiques », puis, par la suite, la danse aux tables, pour en arriver à un contact physique direct avec les clients-prostitueurs.
L’acquittement de Zuma en Afrique du Sud |
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