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lundi 12 septembre 2005 Un pays dont la devise est je m’oublie
Communiqué Un pays dont la devise est je m’oublie Pendant une semaine, au Théâtre Espace GO, le Conseil de la souveraineté du Québec vous invite à un événement inédit : une semaine de théâtre politique On peut raconter l’histoire du Québec, du Régime français au référendum de 1995, en passant par la voie de la recherche historique rigoureuse, avec des dates, des visages et des événements charnières. On peut aussi choisir de raconter cette même histoire à travers la perception des artistes, en chanson, en littérature, en peinture, en cinéma ou en théâtre. Pourquoi pas ? Les artistes prennent la matière des historiens et la transforment en scènes vivantes à saveurs éditoriale, pamphlétaire ou critique. Ils en donnent parfois d’autres interprétations, et font des liens que les historiens ne peuvent pas se permettre de faire. Iconoclastes, fidèles, délinquants, Cette semaine de théâtre politique s’imposait, d’une certaine façon, puisque les pièces politiques sont rarement rejouées, voire jamais. (Comme la plupart des pièces de notre répertoire, d’ailleurs. Il faudrait se demander pourquoi...) Si nous n’avons pas eu la chance de les voir à leur création, nous n’en connaissons même pas l’existence, à moins de les avoir lues. En Lundi 19 septembre, 19 heures Mardi 20 septembre, 17 heures Mardi 20 septembre, 19 heures Mercredi 21 septembre, 19 heures Jeudi 22 septembre Vendredi 23 septembre Samedi 24 septembre Dimanche 25 septembre : Soirée de clôture Pendant toute la semaine, vous pourrez également voir, dans le hall d’entrée de l’Espace GO, une exposition qui souligne les 20 ans de la mort de Jacques Ferron et son apport exceptionnel à la littérature. Après chaque représentation, il y aura des discussions libres au café de l’Espace GO, devant une bière, un verre de vin ou un café, avec des personnes ressources passionnantes. RÉSERVATIONS 845-4890 Conception de la semaine : Hélène Pedneault et Brigitte Poupart Théâtre Espace GO Le Conseil de la Souveraineté est la voix de la société civile. Sa raison d’être est de redonner son sens et son dynamisme à la souveraineté du Québec, la ressouder à son terreau populaire et en faire ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : d’abord et avant tout un projet citoyen. Renseignements : Loriane Séguin Le Conseil de la souveraineté du Québec, en collaboration avec les Éditions Trois-Pistoles, vous invitent cordialement au lancement du livre d’Andrée Ferretti « Écrire des textes politiques ou un roman, c’est pour moi les deux faces d’une seule et même médaille, c’est toujours une expression nécessaire de mon engagement dans la conquête d’une plus grande liberté. » Andrée Ferretti Écrire pour qu’arrive le Grand Soir raconte le parcours intellectuel et littéraire de la militante et écrivaine, Andrée Ferretti. Elle dévoile d’abord les sources de ses désirs, indissociables, de vivre libre et souveraine au milieu d’un peuple libre et souverain dans un Québec indépendant, et nous apprend que ces sources remontent au tournant de ses onzième et douzième années. Après avoir énoncé toutes les raisons qui la poussent à écrire, dont la principale est sa foi en la force des mots et de l’art comme puissants moyens de lutte contre toutes les formes de la domination, Andrée Ferretti, nous parle de ses ouvrages, de ce qui a directement inspiré chacun et comment elle les a réalisés. Notes biographiques Née Bertrand, en 1935, Andrée Ferretti s’engage dans la lutte pour l’indépendance du Québec, au tout début des années 1960. Elle milite au sein du RIN dont elle devient la vice-présidente nationale en 1967. Ciblée par le terrorisme de l’État canadien, elle fut emprisonnée pendant 51 jours, en 1970, à la suite de la Proclamation de la Loi sur les mesures de guerre. La Société St-Jean-Baptiste de Montréal la nomme Patriote de l’année en 1979. Au début des années 1980, Andrée Ferretti se tourne résolument vers l’écriture. Elle est l’auteure de quelques essais politiques, de plusieurs récits et nouvelles et d’un roman, sans rupture toutefois avec le militantisme. Elle participe ainsi très activement à la campagne référendaire de 1995, en tant que présidente dans le comté de Brome-Missisquoi et en tant que membre du comité politique de l’Union des écrivain-es du Québec. Écrire pour qu’arrive le Grand Soir est son huitième ouvrage. Les deux premiers : Renaissance en Paganie et La vie partisane ont été réédités ensemble dans la collection Typo, au printemps 2005. Typo a également édité son deuxième tome des Grands textes indépendantistes et réédité le premier tome, qu’elle avait réalisé en collaboration avec Gaston Miron. Mis en ligne sur Sisyphe, le 12 septembre 2005. Commenter ce texte © Sisyphe 2002-2014 | ||||
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