Accueil > ... > Forum 1954

à vous de choisir !

23 janvier 2005, 00:44, par papa2enfants

je suis choqué parceque bon me semble, laissez moi au moins ce loisir.

votre agressivité et vos références ne m’impressionnent pas, le Pr Poussin m’a tenu les mêmes propos que vous relatez, et j’aime sa retenue.

je connais les références que vous donnez, d’autres se sont chargées de les diffuser à grand renfort de "arrêtons le massacre !"

la loi de 2002 rend possible d’officialiser la pratique de la résidence alternée qui est bien antérieure à cette loi, et c’est une bonne chose.

Quand à la loi "papa2enfants" vous avez oublié de nous en réveller la teneur.

Selon les sources, on trouvera des réserves à la résidence alternée pour des nourrissons ou des enfants de moins de 3 ans, 6 ans, voir 8 ou 10 ans pour les plus virulants. Et quand à la place du père, la réponse est toute faite, il suffit de mettre en place le calendrier progressif du Dr.Berger qui laisse toute sa place au père. Je connais bien cette argumentation, et je veux bien croire qu’avec des parents intelligents qui savent mettre de côté leurs différents dans l’intérêt de leur enfant, cette méthode puisse donner un pourcentage acceptable d’enfants traumatisés.

Mais pourquoi réserve-t-on à la résidence alternée les recommandations de mise en place ? Pensez-vous qu’il soit possible de mettre en place un calendrier progressif quand règne l’hostilité entre les parents ?

Quand vous écrivez "Les 2/3 des enfants (jusqu’à 3 ans) qui passent une ou plusieurs nuits loin de leur mère développent avec celle-ci un attachement "désorganisé"(ce qui est très grave quant aux conséquences possibles).", je m’interroge sur le devenir des enfants de parents salariés qui passent parfois plus de temps, y compris des nuits, chez une assitance maternelle qu’avec leurs parents. Je veux bien entendre cet argument sur l’attachement, mais qu’on l’applique alors à toutes les situations, pourquoi focaliser sur la résidence alternée ? pourquoi la diaboliser ainsi ?

Et dans tous les cas, je ne considèrerais jamais qu’un individu, quelque soit son histoire ne puisse survivre à son enfance ou à ses parents.