J’ai lu cette article dans Libé. Personnellement, j’ai toujours su que je n’aurai jamais d’enfant ! J’ai 46ans et toujours pas changé d’avis ! J’ai plein d’amies qui ont préféré retourner à la maison faire des bébés et qui mène une vie épuisante, routinière, et qui n’ont pas d’autres sujets d’intérêt que leur progéniture et .. leur mari ! Je plains ces mères de famille... qui n’avaient pas toute la fibre maternelle mais qui ont cédé à la pression socio-culturelle et à qui espère se faire valoir en procréant... et comble de l’assistanat espèrent la reconnaissance du ventre via un salaire pour avoir fait ce que la nature leur permet de faire tous les mois...
je me sens libre, féminine, très sensuelle et remercie le ciel de m’avoir fait femme sans être "obligée" de procréer, de vivre dans un pays qui me permet cette liberté inouïe : disposer de mon coeur, contrôler ma fertilité.
Alyssa
J’ai lu cette article dans Libé. Personnellement, j’ai toujours su que je n’aurai jamais d’enfant ! J’ai 46ans et toujours pas changé d’avis ! J’ai plein d’amies qui ont préféré retourner à la maison faire des bébés et qui mène une vie épuisante, routinière, et qui n’ont pas d’autres sujets d’intérêt que leur progéniture et .. leur mari ! Je plains ces mères de famille... qui n’avaient pas toute la fibre maternelle mais qui ont cédé à la pression socio-culturelle et à qui espère se faire valoir en procréant... et comble de l’assistanat espèrent la reconnaissance du ventre via un salaire pour avoir fait ce que la nature leur permet de faire tous les mois...
je me sens libre, féminine, très sensuelle et remercie le ciel de m’avoir fait femme sans être "obligée" de procréer, de vivre dans un pays qui me permet cette liberté inouïe : disposer de mon coeur, contrôler ma fertilité.
Alyssa