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décembre 2000

Femmes et enfants tués par des hommes ou par des inconnus au Québec en 2000
Dates et circonstances

par Martin Dufresne






Écrits d'Élaine Audet



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Dans un travail de sensibilisation populaire et de confrontation des pouvoirs établis, le Collectif masculin contre le sexisme recense les noms et résume les circonstances des incidents où des femmes et des enfants ont été tué-es par des hommes (ou des inconnus) au Québec depuis le massacre perpétré par un antiféministe à l’École Polytechnique de Montréal, le 6 décembre 1989. Nous faisons ce travail depuis maintenant onze ans.

Nous n’utilisons que les données publiées et donc disponibles en bibliothèque, en nous en tenant aux éléments qui permettent de rappeler le nom et l’identité des protagonistes de ces drames et la dynamique qui a mené au meurtre. Sans un tel travail, nous croyons que ces traces seraient immédiatement oubliées par tous sauf par les proches des victimes.

Nous faisons ce travail pour qu’une prise de conscience collective de l’ampleur du désastre sexiste amène une levée de boucliers contre le laxisme de notre société à l’égard des privilèges masculins, dont celui de s’en prendre à une conjointe, surtout à l’occasion d’une séparation. Si le fait de rappeler ces crimes et leur contexte pouvait éviter ne serait-ce qu’une tuerie de plus, est-ce que cela n’en vaudrait pas la peine ? Notre affiche est apposée au mur de dizaines de maisons d’hébergement au Québec. Ce tragique décompte les aide à jauger les risques réels auxquels leur conjoint les expose. J’ose croire que cette liste a pu sauver des vies et justifier de saines colères.

Martin Dufresne
Secrétaire
Collectif masculin contre le sexisme

"Où que ce soit au monde, s’il n’y a pas de noms, il n’y a pas de mort-es." (Laura Bonaparte, une des Mères de la Place de Mai, en Argentine)
*

Femmes/enfants tué-es par des hommes ou par des inconnus en 2000 :
au moins 44 (35 femmes, 9 enfants). De ces nombres - au moins 30 femmes victimes d’un conjoint, ex-conjoint, partenaire sexuel ou membre de leur famille (86% des femmes) - 4 enfants tué-es par leur père ou par le nouveau partenaire de leur mère (44% des enfants)

Josette Duchesne, 45 ans, succombe le 3 janvier, à Laval, à des blessures infligées par Joseph Lubisa, 44 ans, le 3 décembre 1999.

Pauline Bourrelle, 39 ans , tuée le 6 janvier à Léry par son époux, Guy Rufiange, 39 ans, qui a été condamné à 10 ans après avoir avoué ce meurtre.

Mercedez Bondu, 64 ans, abattue le 12 janvier dans son dépanneur au Cap-de-la-Madeleine, d’une balle derrière la tête alors qu’elle essayait d’échapper à un voleur, Dominic Noël, 25 ans, en absence illégale d’une maison de transition, qui a été arrêté 2 semaines plus tard avec l’arme du crime et condamné à perpétuité parce qu’il y avait eu séquestration. Mais cette sentence peut être révisée à la baisse après 15 ans. Noël a tenté de faire invalider son procès en Cour suprême sous prétexte que son droit à garder le silence n’avait pas été respecté mais la CSC a refusé d’entendre sa cause en février 2004.

Johanne Guay, 41 ans, abattue par à Sainte-Rose-de-Laval le 16 janvier par son partenaire sexuel Pierre Prénoveau, 50 ans. La famille de la victime a décrit Prénoveau, un hockeyeur raté, comme très possessif et violent. Le fils de la victime devait déménager chez elle le jour du crime. Le meurtrier s’est suicidé.

Nadia Marion, 2 ans, tuée d’un coup de pied au ventre, le 21 janvier, à St-Hyacinthe par son père André Marion, 41 ans, impatienté par les pleurs de l’enfant alors qu’il écoutait la télé dans une autre pièce. La mère, qui n’avait pris aucune part dans ce meurtre, a malgré tout été d’abord accusée de négligence criminelle. Le meurtrier n’a écopé que de 42 mois de prison.

Seneca Lapointe, 17 ans, abattu d’un coup de .12, le 6 février à Montréal, par son père Jean Lapointe, 41 ans, qu’il venait d’aviser de son intention d’aller rejoindre sa mère au Chili, où elle vivait depuis son divorce du meurtrier. Le meurtrier s’est ensuite suicidé.

Brejnev Lee Maynard, 3 ans, battu à mort à Montréal le 7 février par le partenaire sexuel de sa mère, Gérard Kennedey Alcius, 39 ans, alors que celui-ci gardait Maynard et sa propre fille, pendant que la mère travaillait pour une agence d’« escortes ». Alcius a offert des explications contradictoires pour les blessures constatées sur le cadavre. Il a été condamné pour homicide involontaire.

Denise Duquette, 36 ans, ligotée et jetée dans la Rivière du Nord, le 19 mars et retrouvée à Saint-Canut le 7 juillet. Son ex-conjoint, Jean Godon, 46 ans, a finalement été accusé de meurtre prémédité sept ans plus tard, fin octobre 2007, après avoir été recruté par un enquêteur dans une organisation criminelle fictive pour le faire parler.

Femme dont le nom n’a pas été publié, battue et abattue d’un coup de fusil avec son mari par son fils de 17 ans et 51 semaines, à Arundel, le 22 mars. L’assassin, un jeune décrocheur, a justifié le crime en disant que ses parents lui avaient refusé les quelques milliers de dollars qu’il comptait recevoir en atteignant 18 ans. Son psychiatre a plaidé qu’il souffrait de « dépressions saisonnières ». Malgré le degré de préparation et d’essai de camouflage du crime, le tribunal ne l’a reconnu coupable que d’homicide involontaire. Bénéficiant de la Loi sur les jeunes contrevenants, l’assassin ne demeurera que 3 ans à l’Institut Pinel.

Maryse Côté, 31 ans et Solange Bérubé-Guay, 55 ans, tuées le 26 mars à Saint-Nicéphore, Michel Beaudoin, 30 ans, par le partenaire sexuel de Côté qu’elle s’apprêtait à quitter lorsque celui-ci a jeté sa voiture à très haute vitesse (153 km/h) contre un autre véhicule sur la route.

Caroline Veilleux, 24 ans, abattue dans la rue le 29 mars à Québec par son ex-partenaire sexuel, François Binette, 24 ans, un proche des Hells Angels, et par son copain, Yvon Labbé, après qu’elle eût quitté Binette. Veilleux portait un gilet pare-balles suite aux menaces de Binette mais elle a été tirée dans le cou par Labbé.

Pauline Duval, 70 ans, asphyxiée dans son lit le 1er avril à Saint-Élie-de-Claxton, après que son mari, Guy Lavergne, 69 ans, ait allumé un incendie dans leur chambre, en laissant un message « Au revoir dans l’autre monde » sur sa voiture.

Tanya Pinette, 15 ans, une Amérindienne en fugue du Centre de l’Escale, poignardée à plusieurs reprises au cou et jetée dans un ruisseau le 7 avril près de Québec, à l’Ancienne-Lorette. Son partenaire sexuel, Jessy Ali Bahrawy, 20 ans, qui avait des antécédents de violence, a été accusé de meurtre sans préméditation.

Francine Lacroix, 49 ans, abattue de plusieurs balles à son domicile, le 27 avril à Henryville. Elle avait divorcé un an plus tôt. Aucune arrestation n’a été effectuée.

Cindy Bouchard, 43 ans, violée et étranglée le 28 avril à Anjou, par son mari Robert Gaudette, 41 ans, un spécialiste des arts martiaux qui venait de se quereller avec elle dans sa voiture. Il a jeté le cadavre dans un conteneur à ordures et a alerté la police en prétendant que sa femme avait été kidnappée par un gang asiatique.

Guylaine Potvin, 19 ans, étudiante trouvée étranglée, nue et violée sur son lit, le 28 avril à Jonquière. Un avis de recherche a été émis contre son partenaire sexuel.

Sylvie Lamarche, 38 ans, abattue en forêt le 3 mai à La Pêche par son mari Jacques Bernier, 38 ans, qui s’est ensuite suicidé.

Marie-Paule Gagné, 52 ans, tuée et jetée dans un bois le 4 mai à Montbeillard par un homme qui l’avait prise en auto-stop. Son corps a été retrouvé le 26 juillet.

Ginette Gauthier, 32 ans, abattue dans sa voiture le 30 mai à Saint-Hubert par son conjoint depuis 15 ans, Stéphane Samuel, 33 ans, qu’elle venait de quitter. Elle s’était réfugiée chez sa sœur mais a été prise en embuscade alors qu’elle conduisait ses enfants à l’école.

Jeannette Fradette-Fréchette, 64 ans, poignardée le 8 juin à Mont St-Hilaire dans une chambre de motel par Gaétan Deslauriers, 35 ans, qui a prétendu être « un ange » et a été acquitté pour aliénation mentale.

Aylin Olana-Garcia, 15 ans, une jeune fille d’origine cubaine, attirée dans une embuscade et battue à mort, le 12 juin à Lachute, par deux adolescents de 15 ans qui se disaient racistes et en étaient à leur troisième tentative pour la battre sous prétexte qu’ils « n’aimaient pas les immigrés parce qu’ils volent le BS et les jobs des gens de la région ». Le psychiatre Louis Morrissette a prêté l’alibi de « délire paranoïde » à un des assassins, protégés par la Loi sur les jeunes contrevenants. Un d’entre eux, celui qui avait attiré la jeune fille dans le guet-apens soi-disant pour venger son ami dont elle avait ri, a été condamné à 4 ans de garde fermée et a également été accusé de complot d’évasion et de séquestration. Le juge Paul Chevalier avait refusé son plaidoyer de culpabilité à une accusation de meurtre prémédité. L’autre, celui qui a commis le meurtre, a eu six ans. Le beau-père de la victime a dit souhaiter ardemment qu’on le prévienne quand il sera remis en liberté.

Natacha Desbiens, 30 ans, abattue d’une balle à la tête le 16 juin à St-Roch-de-Richelieu, dans le cadre d’une guerre des motards.

Joëlle Delage, 19 ans, battue et jetée en bas d’une falaise le 7 juillet à Trois-Rivières par son ex-partenaire sexuel, Eric Néron, 20 ans, qu’elle avait quitté le jour d’avant. Elle avait obtenu plus tôt dans l’année une ordonnance de non-communication mais l’avocat de Néron avait obtenu qu’elle soit levée. Le psychiatre Pierre Gagné a plaidé que Néron, déjà dix fois reconnu coupable de voies de fait, présentait des « troubles de comportement » et des « troubles de contrôle de l’impulsivité ». Condamné à 14 ans.

Jenny Lerner, 73 ans, asphyxiée à l’aide d’un sac plastique par son mari, Herbert Lerner, 77 ans, le 14 juillet à Château-Vaudreuil dans une chambre d’hôtel, qui a parlé d’ « euthanasie ». Elle avait récemment été diagnostiquée Alzheimer. Lerner a été autorisé à plaider coupable à une accusation réduite d’homicide « involontaire ».

Bianca Caron, 17 ans, trouvée morte dans un boisé le 14 juillet au mont Saint-Grégoire, alors qu’elle se rendait par auto-stop à Montréal. L’homme qui a alerté la police, après avoir dit l’avoir trouvé en entrant dans le bois pour uriner, a été relâché après enquête.

Alexandre Livernoche, 13 ans, violé, battu à mort et asphyxié le 4 août à Tracy par un détenu, Mario Bastien, 29 ans, qui avait été remis en liberté avant qu’une autre peine n’ait été entièrement purgée.

Chrystelle Lavigne-Gagnon, 15 ans, poignardée à mort par son ex-amoureux, Richard Germain, 20 ans, le 8 août à Chomedey, après qu’elle eût accepté de le revoir une dernière fois. Germain était en liberté surveillée malgré de nombreuses accusations d’intimidation et de menaces de mort contre Lavigne-Gagnon. Il avait peint une foule de graffitis haineux et de menaces de meurtre dans des parcs de la ville à proximité de chez elle. Celle-ci n’avait réussi à obtenir de l’aide de personne.

France Roy, 44 ans, ligotée et battue à mort avec une batte de base-ball, le 9 août à Saint-Georges-de-Beauce, par son ex-mari, Richard Mathieu, 42 ans, dont elle venait de se séparer. Il avait déjà été reconnu coupable de harcèlement et de voies de fait contre elle en 1994 et 1995 mais n’avait reçu que des sentences suspendues.

Éliane Hervieux, une femme Algonquine de 36 ans qui travaillait à un centre de rétablissement pour enfants victimes d’agressions sexuelles, a été poignardée au cou le 25 août à Pikogan, près d’Amos, par son partenaire sexuel, Allan Kistabich, 38 ans qui a été accusé de meurtre au second degré.

Colette Rondeau, 35 ans, battue à mort sur un chemin de campagne le 31 août à Sainte-Marie-Salomé par son ex-concubin et probablement proxénète, Michel Mezïani, 42 ans, qu’elle venait de quitter pour se marier et qui s’est ensuite suicidé.

Samuel Thompson, 23 mois, battu à mort à coups de poing le 18 septembre à Chicoutimi-Nord par le partenaire sexuel de sa mère, Eric Savard, 22 ans, qui a également été accusé de voies de fait contre la mère du bébé. Savard a été reconnu coupable d’homicide involontaire et sentencé à 9 ans de pénitencier en 2003.

Rosiana Poucachishe, 17 ans, trouvée assassinée chez elle le 10 octobre sur la réserve amérindienne de Lac-Rapide.

Anita Lelièvre, 81 ans, étouffée à l’aide d’un manteau sur son lit d’hôpital le 10 octobre à Saint-Eustache, par son mari Michel Ouellette, 52 ans, qui a prétendu avoir procédé à une « euthanasie ». Il a également falsifié le testament et pris les dispositions funéraires avant le crime. Condamné à six ans de prison pour meurtre prémédité.

Céline Carrière, 35 ans, étranglée le 12 octobre à Omerville par son mari, Pierre Larochelle, 36 ans, après qu’il ait laissé une lettre de 10 pages justifiant son crime. Après seulement 2 _ mois de détention et un procès où il s’est présenté comme entièrement irresponsable de ses gestes au moment du meurtre et où il a longuement calomnié sa victime avec le soutien inconditionnel du Journal de Montréal, un jury l’a reconnu coupable d’homicide involontaire et le juge, qui a tout de même paré d’un « geste volontaire » ne l’a condamné qu’à 3 ans de pénitencier, donc libération au bout d’un an. Le procureur de la Couronne, André Campagna, qui n’avait réclamé que 5-7 ans de prison (Me Jean-Pierre Rancourt, pour la défense, réclamait une simple sentence avec sursis) a plaidé : « ...dans cette affaire, deux enfants ont perdu leur mère et aussi leur père... ».

Maryse Levac, 31 ans, poignardée le 13 octobre à Verdun par son partenaire sexuel Eric Senez, 27 ans, qui a été accusé de meurtre prémédité.

Maria Giuseppa Siracusa, 32 ans, poignardée à St-Léonard le 28 octobre par son ex-conjoint Mohammed Reza Dadgar, 33 ans, qui s’est rendu chez elle pour le meurtre. A été accusé de meurtre au premier degré en novembre 2001 mais a plaidé coupable à homicide involontaire. Il sera admissible à une libération conditionnelle après 8 ans de sa sentence de 16 ans. Tout en protestant contre la sentence, il s’est vanté qu’en Iran, son pays d’origine, il aurait été condamné à mort.

Rose Daigle, 92 ans, battue le 21 novembre à Québec par un patient de 77 ans dont le nom n’a pas été rendu public, à l’hôpital psychiatrique Robert-Giffard. Elle est morte de ses blessures deux jours plus tard.



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Martin Dufresne

Longtemps associé au Collectif masculin contre le sexisme, créé en 1979, Martin Dufresne est connu comme un allié des milieux féministes et a produit dans plusieurs médias des analyses percutantes sur divers aspects de la condition masculine, ainsi que sur la violence faite aux femmes.



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  • > Femmes et enfants tués par des hommes ou par des inconnus au Québec en 2000
    8 décembre 2007 , par   [retour au début des forums]

    bonjour je suis un des 2 filles de maryse levacqui est décédée le 12 octobre 2000 et non le 13 comme cité. je tiens dire que malgré le fait que M.Senez a tué ma mère par préméditation, il doit etre en liberté a l’heure ou j’ecris ces lignes. lorsqu’il a recu ca sentence, il avait deja purger 1 an et il a eu une sentence de 10, mais l’année qu’il avait déja purgé comptais en double pour bonne conduite. ce qui fait que lors de sa sentence , c’est comme s’il avait eu 8 ans plus une possibilité de liberation cnditionnelle au tiers de sa sentence. comment ce fait il qu’un homme qui pu tué puisse retrouver sa liberté ainsi alors que des revendeurs de drogue ont 25 ans sa possibilité de libératon conditionnelle ? ca devrais etre le contraire qui se produit.

    > Femmes et enfants tués par des hommes ou par des inconnus au Québec en 2000
    26 septembre 2006 , par   [retour au début des forums]

    Je suis la mère de Guylaine Potvin, retrouvée assassinée à Jonquière le 28 avril 2000. Celà fait 6 ans et le mystérieux meurtrier est toujours au large : quel cauchemar !

    Je tiens à préciser que son ami de coeur n’est pas mis en cause.

    L’enquête a été relancée par l’entremise de l’émission " Qui a tué ? " diffusée en novembre 2005.

    Au nom d’une famille endeuillée

    Jeanine

    > Femmes et enfants tués par des hommes ou par des inconnus au Québec en 2000
    18 septembre 2006 , par   [retour au début des forums]

    Juste une petite info au sujet de Allan Kistabish. Son nom s’écrit KISTABISH et il n’était pas seulement son partenaire sexuelle mais son mari. c tout ce que je voulais préciser.

    > Femmes et enfants tués par des hommes ou par des inconnus au Québec en 2000
    3 septembre 2003 , par   [retour au début des forums]

    Chrystelle Lavigne-Gagnon

    Il y a maintenant un peu plus de 3ans que tu nous a quitter.

    Depuis ce jour, il ny a pas une journer qui passe sans que jai une pensee pour toi et a la tragedie quil tes arriver. Lorsque tu as perdu la vie, un ange est nee , et cette ange cest toi.

    TU ME MANQUE ENORMEMENT

    REPOSE EN PAIX

    I LOVE YOU

    Richard TU NAVAIS PAS LE DROIT DE LUI ENLEVER LA VIE JAMAIS AU GRAND JAMAIS JE VAIS TE PARDONNER


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