Si peur parfois de te perdre dans les ruines de ta peine les espoirs réduits en poussière la pluie trop ardente des mots
Mouvement du rêve à travers mers et murs ton regard m’enveloppe d’un manteau de lumière
Ce matin encore boire au lever un verre plein de vide et de vent voir l’orange ce beau soleil sonore sombrer en silence au creux de soi
Écoute ce fond de bruit et de lumière chanter en toi le vertige des galaxies t’ouvrir au pouls de l’énergie ni dedans ni dehors vide entière
Il suffirait de déchiffrer l’écriture des métamorphoses pour ne plus voir que l’aube dans la montée de la nuit
Mis en ligne sur Sisyphe, le 9 avril 2015
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