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dimanche 4 décembre 2016 L’éternel départ
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Chaque jour je te dis adieu Plus je m’approche de l’infime Les mots à double tranchant Intemporelle j’aurais tant voulu Sous ta dictée délire au feu nourri L’amour de toi m’a pour ainsi dire Tu as fait irruption en moi Certains matins le silence Je me tiens au plus près du bord Je persiste à voir des signes Parfois une perte peut dévaster S’il n’y avait tes mots Que sait-on de l’instant précis De toutes les conjugaisons Mis en ligne sur Sisyphe, le 6 janvier 2017 |
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