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jeudi 5 novembre 2009


La prostitution nuit aussi aux hommes
Le "client", premier agent de la prostitution

par Lora Crohain






Écrits d'Élaine Audet



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Jusqu’à il y a peu, quand le sujet de la prostitution était abordé, le "client" était le grand absent de la présentation du système. L’idée qu’il s’agissait d’un homme esseulé, inhibé, était sous-entendue. Il était d’office excusé, voire plaint.

Les travaux de Sven-Axel Manson, de Claudine Legardinier et Saïd Bouamama, entre autres, l’ont fait sortir de l’ombre et ont montré que le "client", c’est "Monsieur-tout-le-monde". Les différents groupes sociaux sont également représentés, la fréquence du recours à la prostitution dépendant essentiellement des revenus. La plupart de ces hommes vivent en couple et ont des enfants.

Il semble donc intéressant de chercher le fil conducteur qui permettra de mieux comprendre pourquoi des hommes, que la plupart du temps rien ne rapprocherait, se partagent "en frère" l’usage du corps des mêmes femmes. Comment se construit un "client" ?

Devant l’ampleur que prend la traite des êtres humains à fin d’exploitation sexuelle, beaucoup de pays, même ceux qui ont légalisé la prostitution, veulent décourager la demande par des campagnes de sensibilisation destinées au "client". Il est enfin reconnu que c’est la demande qui crée l’offre et donc que le "client" est le premier acteur et responsable de ce système. C’est un premier pas, même si cette initiative peut être récupérée, comme l’a été la campagne Don Juan en Suisse, dont le but était de rendre les "clients" responsables, polis, propres et non-violents, et qui, in fine, a fait la promotion de la prostitution en la banalisant. De plus, s’attendre à ce que ce soit le "client" qui dénonce la traite me paraît pour le moins utopique.

D’autres pays, comme récemment le Royaume-Uni, ont légiféré et sanctionnent les "clients" de femmes visiblement victimes de la traite, même s’ils disent l’ignorer. Un pas de plus est donc franchi vers la reconnaissance du rôle premier du "client" dans ce système et du caractère contraire à la dignité humaine de la prostitution. Cette loi est objectivement inapplicable et changera peu ou pas du tout la situation des femmes prostituées dans ces pays, mais le rôle du "client" est pointé et il sort de l’anonymat.

D’autres pays, enfin, ont franchi le dernier pas en pénalisant l’"achat de services sexuels" et en reconnaissant le statut de victime des personnes prostituées. Près de chez nous, la Suède fut précurseur en 1999, la Norvège et l’Islande suivirent en 2009.

Le "client" doit-il absolument être arrêté par une loi ? Pour la plupart, ce sera nécessaire, suivant le principe que ce qui n’est pas interdit est permis et que ce qui est permis est très facilement considéré comme normal. Une loi d’interdiction est un signal fort de la société : acheter du sexe est inacceptable.

Cette limite précise, outre le fait qu’elle constitue un arrêt net, un empêchement, peut alors donner l’occasion à ces hommes de réfléchir au pourquoi et au comment ils sont devenus "clients". Nous pouvons en effet penser qu’une interdiction légale ne suffit pas. Dissuasive pour certains, elle n’aura pas d’effet sur d’autres qui transgresseront. Ne plus être "client" par conviction est évidemment la solution idéale, tant pour éviter les récidives que pour l’équilibre de ces hommes.

D’autres "clients", dont certains ont le courage de témoigner, auront une prise de conscience personnelle du fait que leur pratique prostitutionnelle est contraire aux droits de l’être humain, ne se justifie pas, ne leur est pas nécessaire et leur porte aussi préjudice.

Chercher à comprendre

La compréhension est la première étape du changement. Nous essaierons ici d’en jeter les bases.

Il sera question des clients prostitueurs qui ont recours aux femmes, ce qui est la situation de loin la plus courante, même si ce sont des hommes aussi les principaux "clients" des hommes et des enfants prostitués. Ces pseudo-catégories ne sont d’ailleurs que théoriques. Catégoriser permet au consommateur "ordinaire" de se donner bonne conscience parce qu’il s’adresse, d’après lui, de façon "naturelle" et hétérosexuelle, à des femmes adultes dans une relation contractuelle. Il peut ainsi s’insurger contre les autres pratiques et la prostitution "forcée". L’analyse de terrain contredit cette fiction. Quelques exemples : comment, pour un Européen, différencier une Africaine de 12 ans et une de 16 ans, âge légal pour se prostituer en Suisse ?

Comment déterminer objectivement si la prostituée est victime du trafic ? De plus, ce sont des "clients" de femmes prostituées qui louent en majorité des travestis et, parmi ceux qui pratiquent le tourisme sexuel pédophile, il y a beaucoup de "clients" de la prostitution classique dans leur pays, surtout parmi les pays qui ont légalisé la prostitution.

Il n’y a qu’une façon d’être prostitueur : exercer un pouvoir sur un autre être humain, par l’argent et pour le sexe, nier son humanité en le réduisant à l’état d’objet, quel que soit son âge, son sexe. Qu’ils soient violents ou pas, polis ou pas, tous sont complices des agissements des autres "clients". C’est toujours l’expression d’une double domination : celle de l’homme sur un plus faible physiquement, psychologiquement ou socialement (une femme, un enfant, un homme…) et celle du riche sur le pauvre. Leur choix entre enfant, homme, femme, hermaphrodite, trans etc. ne dépend que des cahots, du chaos, de leur histoire.

Quant aux femmes clientes, leur nombre reste anecdotique. Voici les estimations pour la France : 10 à 15 % des hommes ont acheté du sexe au moins 1 fois, 0,3 % des femmes seulement.
Mon propos n’a en aucune façon pour but d’excuser les actes des clients prostitueurs, ils en sont totalement responsables, mais je pense qu’il ne faut pas, comme ils le font avec les prostitué-e-s, leur dénier toute humanité. C’est celle-ci qu’ils doivent retrouver pour que, la laissant s’exprimer, ils ne puissent plus déposer leur conscience à la porte du bordel et la reprendre en sortant.

Mythe du "mal nécessaire"

La prostitution est présentée dans de nombreux pays comme un mal nécessaire, utile aux hommes et à la société.

Elle serait utile aux hommes parce que ceux-ci auraient des besoins sexuels que les femmes ordinaires ne pourraient satisfaire. La libido de ces dernières serait naturellement faible et, de plus, elles n’accepteraient pas certaines pratiques sexuelles. La prostitution concourrait donc à l’équilibre des hommes en servant de réceptacle au surplus d’énergie sexuelle, qui, non évacué, serait préjudiciable à leur santé... Et, par là même, serait la gardienne de la paix conjugale.

Elle serait d’utilité sociale : les pulsions sexuelles des hommes étant soi-disant irrépressibles, leur permettre d’utiliser une prostituée éviterait donc les viols, et l’infidélité du mari. La prostitution serait ainsi la gardienne de la paix des femmes "honorables" et de la famille qu’elle préserverait de l’éclatement. Des femmes, dont le " métier " est de soulager mécaniquement les hommes, devraient donc être affectées à cet usage, pour le bien de tous…

La non-véracité de ces affirmations a été largement démontrée. Le rapport Hite montre bien que la libido des femmes est d’une intensité égale à celle des hommes. Mais, il est évident que les rapports sexuels, comme ils sont encore souvent pratiqués dans notre société patriarcale, c’est-à-dire où les deux partenaires travaillent à mener l’homme à l’orgasme en considérant l’orgasme féminin comme accessoire, quand il n’est pas simplement nié, ne suscitent pas un enthousiasme débridé de la part des femmes. Quant aux viols, aucune hausse de leur nombre n’a été constatée dans les pays où l’abolition de la prostitution est effective. De même, la crise financière qui touche aussi les "clients", qui réduisent leurs achats sexuels, n’a pas provoqué de viols supplémentaires.

Notons que l’industrie du sexe, voyant que ces affirmations ont de moins en moins de crédit, parle maintenant de "sexe récréatif", rangeant ainsi "l’achat de services sexuels" parmi les divertissements proposés aux hommes, au même titre que l’achat de billets pour assister à un match. La coupe du monde de foot 2006 en Allemagne a d’ailleurs associé les deux, foot et prostitution, avec la construction du méga-bordel Artémis pour assurer la troisième mi-temps récréative du supporter.

Les premières victimes de ce système sont évidemment les femmes prostituées, mais le "client", sans en être vraiment conscient, est également perdant, en tant qu’homme, en tant qu’être humain et en tant que citoyen. Il est à la fois le profiteur et la victime collatérale du système prostitutionnel.

Il n’y a pas de besoin sexuel, comme Philippe Brenot (psychiatre, anthropologue, directeur d’enseignement en sexologie à l’Université de Paris V, vice-président de l’Association Inter Hospitalo-Universitaire de Sexologie et président de L’Observatoire International du couple et éditeur) le dit ici :

    Il n’y a pas de besoin sexuel. Le sexe est culturel, il est le fruit d’un apprentissage. Sans manger, sans uriner, je ne pourrai pas vivre. Sans relation sexuelle de toute ma vie, il ne se passera rien. Si : une frustration. Il n’y a pas là de besoins naturels, il y a le fait d’accepter ou pas la frustration. Certains hommes se calquent sur le désir de leur partenaire, d’autres vivent une frustration et l’appellent besoin : ce sont de gros bébés qui ne sont pas construits. Le vrai problème, c’est la frustration. Ces hommes pensent que les femmes ont le pouvoir de leur permettre d’accéder ou pas à la sexualité, ils les vivent donc comme castratrices, frustrantes. Dans la prostitution, l’homme paie pour que la femme ne puisse pas poser de limites.

Le client prostitueur souffre d’une frustration sexuelle qu’il pense soigner en achetant un "service sexuel". Il croit que ses pulsions sexuelles l’obligent à ce qu’il pense être un rapport sexuel mais qui en fait se résume à une pénétration. En réalité l’évacuation physique de cette tension sexuelle n’exige pas la décharge dans un corps de femme, comme ces hommes le pensent. La masturbation remplit parfaitement ce rôle.

Le passage à l’acte permet une économie psychique puisqu’il évacue les pulsions et dispense de les supporter, de s’interroger sur ce qui les stimule. Il prend la place de la symbolisation, de la parole. Après, la réflexion peut amener de la culpabilité, mais le déni et la rationalisation viennent alors l’étouffer. Le "client" dilue sa responsabilité dans le nombre, se classe dans les "bons clients", polis et non violents qui ne fréquentent que des prostituées "libres", appelle la passe un échange économico-sexuel, et fait appel à bien d’autres stratégies justificatrices et déculpabilisantes.

La prostitution, une fausse solution

Le passage à l’acte est un mode de défense inadapté car il n’atténue pas le conflit intérieur, il le masque provisoirement.
S’acheter du sexe est une démarche infantile, facile, simpliste qui réduit la frustration sexuelle à une tension organique et la virilité à la fonction érectile.

Le "client" croit trouver une réponse à une frustration sexuelle mais ressort de sa "visite" à une prostituée avec d’autres frustrations. Une frustration sexuelle supplémentaire, puisque le "service" ne répond jamais à l’attente, c’est trop rapide, c’est minuté, elle ne fait même pas semblant d’aimer ça… ; une frustration relationnelle : c’est impersonnel, elle ne parle pas ; et une frustration émotionnelle : c’est une atmosphère aseptisée, sans tendresse. Lui aussi est traité en objet, non pas sexuel, mais producteur d’argent. Seuls les plus naïfs ou les plus frustes peuvent penser recevoir autre chose contre paiement.

Paradoxalement, il achète un corps, mais voudrait une rencontre. La responsabilité en est évidemment attribuée à la prostituée. Il faut donc recommencer, avec une autre, la solution étant toujours vue comme extérieure à lui, ainsi que la défaillance. Ces hommes ont reçu une éducation qui ne les a pas habitués aux frustrations inhérentes à la vie d’adulte. Leurs désirs – trop vite et trop souvent comblés – leur sont apparus comme des besoins qui doivent être satisfaits.

La tolérance ou la complicité de notre société l’ont conforté dans cette croyance que, non seulement ses désirs sont des besoins, mais qu’il a droit à leur satisfaction. En effet, si la famille est le premier lieu d’éducation, il n’est pas le seul.

Cette croyance prend sa source dans la petite enfance de ces hommes.

Très couramment, des pères n’investissent leur fils que quand il est apte aux contacts vers l’extérieur, vers la société, quand il parle, interagit.

Égoïstement, ces pères se dispensent ainsi d’un rôle qu’ils jugent inintéressant, voire dévalorisant, et par là même discréditent les tâches accomplies par la mère et portent un regard dépréciateur (dépréciant ?) sur la femme dans la mère.

Le petit garçon grandit alors dans un monde clivé. Les soins, l’assistance, le bien-être physique viennent uniquement d’une femme, disqualifiée par un homme, tandis qu’autour de celui-ci, modèle identificatoire pour son fils, plane un parfum de mystère, d’inconnu, d’aventure, de puissance fantasmée.

La mère se trouve seule à assumer l’éducation de la petite enfance, plus seule qu’une mère isolée, qui peut organiser et pallier le manque en trouvant ailleurs une représentation de la fonction paternelle, puisqu’ici le père fait illusion de paternité par une présence uniquement physique.

Ce huis clos familial avec la mère amène souvent que ce petit garçon se vive et soit vécu comme l’élément masculin du couple. Elle passe en effet plus de temps avec lui, en tant que mère, qu’avec le père en tant que compagne. Il y aurait là, alors, un surcroît de droit à la jouissance accordé au petit garçon, tandis que la petite fille serait plus gratifiée à l’apprentissage de la frustration, en imitation de la mère. (À la première demande du petit garçon, il est plus souvent répondu : "Tiens" et à la petite fille : "Attends".) Un climat incestuel* s’élabore, le père ne prenant pas sa place de parent.

Un "client", c’est un petit garçon qui demande qu’une femme lui donne le plaisir de la satisfaction de ses besoins (il prend ici sa frustration sexuelle pour un besoin comme expliqué plus haut) doublé d’un homme qui méprise celle qui donne ces soins. Il veut jouir d’une femme parce qu’elle est "à son service", comme sa mère, et parce qu’il peut la considérer comme inférieure (puisqu’il la loue) pour être fidèle à son père. Cela doit rester caché, secret, et isolé de la famille, dans un lieu – apparemment – intime, pour à la fois revivre le "couple interdit" avec la mère, et en mémoire de la vie présumée secrète du père à l’extérieur de la maison. Il reproduit le clivage qu’il a connu, en se faisant une vie parallèle. La fille "publique" fait partie de la vie "privée" du "client".

Inconsciemment, il réalise l’inceste avec une femme qui est à la fois sa mère et la femme que le père dénigre. La prostitution répond à toutes ces conditions.

Penser sa pulsion sexuelle comme un besoin est une stratégie d’économie psychique. C’est l’obligatoire première étape pour se convaincre qu’on est obligé de passer à l’acte et ainsi éviter une douloureuse remise en question.

Voilà la jouissance pathologique du "client", forcément décevante et frustrante pour lui, puisque à la fois immature et perverse (le non-désir et le non-plaisir de la prostituée faisant partie de sa jouissance, sans qu’il en soit toujours conscient).

Il souffre aussi d’un manque de confiance en lui et d’un manque de confiance dans sa virilité. Il va donc se rassurer facilement sur son pouvoir en dominant une femme (il l’oblige par l’argent ou par l’intermédiaire d’un réseau) et sur sa virilité puisque son pouvoir s’exerce par le sexe. De nouveau il a ici une vue étriquée et tronquée de la masculinité, puisqu’il la réduit à la capacité de "posséder" sexuellement une femme.

Il achète l’accès à un monde où les vieilles valeurs patriarcales sont préservées : la femme est soumise, disponible, obéissante, éternellement jeune et jolie. L’homme choisit, décide.

* La relation incestuelle se définit comme une relation extrêmement étroite, indissoluble, entre deux personnes que pourrait unir un inceste et qui cependant ne l’accomplissent pas.

 Dans un deuxième article, , « De client prostitueur à homme responsable : une remise en question nécessaire », l’auteure parle de la nécessité pour les hommes de se remettre en question. Une analyse plus psychologique que politique.

 Texte transmis à Sisyphe par l’auteure et publié le 22 juillet 2009 dans son blogue, En quelque sorte.

Bibliographie de cet article

  • Élaine Audet, Prostitution, perspectives féministes, Montréal, éditions Sisyphe, 2005. Lien Internet.
  • Julie Bindel et Liz Kelly, A Critical Examination of Response to Prostitution in Four Countries : Victoria, Australia ; Ireland ; the Netherlands and Sweden, London Metropolitan University, 2003. Lien internet en PDF.
  • Saïd Bouamama, « L’homme en question, le processus du devenir client de la prostitution », Étude du Mouvement du Nid, 2004. Lien internet en PDF.
  • Max Chaleil, Prostitution : le Désir mystifié, Parangon, 2002.
  • Claire Fleury, « Ils-Elles s’engagent : Interview de Lilian Thuram », Le Nouvel Observateur, No 2165, du 4 mai 2006. Lien internet.
  • Shere Hite, Le Nouveau Rapport Hite, Robert Laffont, 2002.
  • Shere Hite, Le Rapport Hite sur les hommes, Robert Laffont, 1981.
  • Claudine Legardinier et Saïd Bouamama, Les clients de la prostitution, l’enquête, Presses de la Renaissance, 2006.
  • Jan Macleod, Melissa Farley, Lynn Anderson and Jacqueline Golding, Challenging men’s demand for prostitution in Scotland – A research report based on interviews of 110 mens who bought women in prostitution, publié par « Women’s Support Project », 2008.
  • Sven-Axel Mansson, Les pratiques des hommes "clients" de la prostitution : influences et orientations pour le travail social, Université de Göteborg. Étude, 2003. Article sur Sisyphe ou sur SOS Femmes.
  • Richard Poulin, Abolir la prostitution, Montréal, éditions Sisyphe, 2006. Lien internet.
  • Richard Poulin, La mondialisation des industries du sexe, Ottawa, Interligne, 2004.
  • Prostitution et Société, n° 148, « Philippe Brenot, psychiatre », par Claudine Legardinier, mars 2005. Lien internet.
  • Prostitution et Société, n° 155, « Témoignage de Julien », propos recueillis par Claudine Legardinier, février 2007. Lien internet.
  • Serge Raffy, « Coupe du monde et prostitution, la nouvelle industrie du sexe », Le Nouvel Observateur, n° 2165, 4 mai 2006. Lien internet.
  • Dr Judith Trinquart, La Décorporalisation dans la pratique prostitutionnelle : un obstacle majeur dans l’accès aux soins, thèse de Doctorat d’État de Médecine Générale, Paris, 2002. Lien internet format PDF.

    Mis en ligne sur Sisyphe, le 26 octobre 2009.



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  • Lora Crohain



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